Monday, April 27, 2015

elles ont testé pour vous: l'un(t)raveling...


...un week-end nature et sportif en Haute-Ariège (garanti Tous Publics) * 

des grottes, des fleurs, des papillons et des noeuds 'rabbit': pas de doute, vous êtes en Haute-Ariège...

vu par M. (10 ans):


Il est 8 h : nous n’arrivons pas à nous lever.

Habillage : avant le petit-déjeuner, nous  nous habillons.

Petit-déjeuner : nous mangeons du muesli avec du yaourt. Avant de partir, nous préparons le pique-nique, les gourdes, les mousquetons, les vestes et l’appareil photo.
Départ pour C. : ça y est, nous partons dans la Yaris de papi. Arrivés là-bas, nous prenons nos sacs. Sur le chemin, nous rencontrons toutes sortes de choses : fleurs, papillons, arbustes et le plus stupéfiant, une grotte! Nous l’explorons. Nous voyons des petites ou grosses stalactites (mais pas en glace), nous prenons des photos puis nous sortons et nous continuons la ballade. Un peu plus loin nous tombons sur des escaladeurs et sur une autre grotte avec une sortie.
vu par J. (8 ans 1/2):


On s’est levés à 8 heures et on a eu du mal à sortir du lit. Puis on a pris le petit-déjeuner et on est partis à la montagne de C.

Sur la route, on a vu des gens qui veulent creuser une carrière et d’autres qui ne sont pas d'accord : ils ont écrit plein de pancartes. Arrivés à la montagne, on a vu un panneau sur lequel était écrit tout ce qu’on pouvait voir: les fleurs et les oiseaux. Puis on a commencé  à prendre le chemin du château. Sur le chemin, on a ramassé des bâtons de marche et un peu plus loin, on a vu la petite ville de C.

On est passés par un chemin où on a découvert une grotte ! On a visité la grotte, il faisait tout noir. Heureusement, on avait deux lampes de poche. Au début c’était étroit puis ça s’est élargi. On a vu des stalactites et des stalagmites.
À quelques pas de cette grotte, une autre! Nous nous avançons dans l’obscurité. Heureusement nous avons des lampes. Nous tombons sur une petite fente et là : une chauve-souris que nous prenons en photo. Elle n’est pas très grande, alors pour mieux la voir nous l’éclairons, mais nous pensons que nous la dérangeons.

Un peu plus loin, une énorme stalactite qui va du haut du plafond jusqu’en bas. Nous la prenons en photo puis nous sortons de la grotte, nous marchons et nous rencontrons d’autres promeneurs. J. aperçoit un sentier qui devrait rejoindre le chemin principal. Futuna va avec elle et M. va avec Wallis. À peine font-elles 200 mètres qu’elles voient J. redescendre, puis Futuna. Ils les rejoignent et expliquent que le chemin était trop glissant. Nous faisons une pause pour boire puis nous repartons. Sur les deux côtés du chemin, nous voyons des fleurs très jolies que nous prenons en photo.
À un moment, il y avait de l’eau et Futuna nous a fait traverser. On a du ressortir par l’entré. On a pris des photos de fleurs pour les redessiner à la maison, mais on n’a pas eu le temps. On a aussi vu des fraisiers sylvestres. On a continué le chemin jusqu’à la deuxième grotte : on n’avait pas besoin de lumière, mais pour aller à la sortie, il fallait traverser une pente raide et glissante. À la sortie, ça montait un peu plus, donc on s’est beaucoup servi des bâtons. On a vu de très jolis fleurs et quelques papillons qu’on a pris en photo.

Puis on a vu une autre grotte, on a eu aussi besoin des lampes : M. et moi on les tenait. On a remarqué une chauve-souris que Wallis a trouvée rigolote. On a aussi vu une stalactite géante mélangée à une stalagmite. Futuna l’a prise en photo avec nous à côté, pendant que Wallis faisait de la lumière en contre-jour. Cette fois-ci, on est sortis par la vraie sortie.
Nous trouvons des fraises des bois, traversons des arbres et arrivons à un endroit dans la roche. Nous décidons de pique-niquer là. Nous imaginons que le pain est de la peau de serpent et le jambon du mammouth.

Après le repas nous nous reposons un peu. Futuna prépare l’escalade : il fait un harnais pour enfant avec un nœud qui s’appelle nœud rabbit : on l’appelle comme ça parce qu’il ressemble à deux oreilles de lapin. Bon, tout est prêt, nous pouvons commencer ! M. grimpe tout en haut, puis J. suit. Elles s’entraînent à redescendre avec la corde. Ensuite, elles escaladent un peu plus haut et Eila les prend en photo. Une fois redescendues, nous rangeons tout le matériel.
Dehors, ça montait encore plus. On était un peu fatigués et on a bu de l’eau. Puis on a recommencé le chemin, on a vu des randonneurs et on leur a demandé l’heure : on a décidé de continuer encore un peu avant de pique-niquer. On s’est arrêté sur des cailloux et on a pique-niqué façon préhistorique : les chips étaient des ailes de chauve-souris grillées, le jambon du mammouth et le pain de la peau de serpent.

Après manger, nous sommes allés escalader une petite montagne. Wallis prenait des photos et Futuna a fabriqué un harnais car on avait oublié le vrai à la voiture. Il nous tenait la corde, c’était super bien, sauf que ça faisait un peu peur. Après nous sommes redescendus en jouant au «roi du silence».
Nous rentrons à la maison où nous faisons du papier mâché. Puis, nous allons au bord de l’Ariège faire de la slackline. J. arrive à monter toute seule et M. à faire quelques pas. Nous rentrons et après la douche, nous regardons deux épisodes de Tintin. Avant d’aller nous coucher, nous regardons les photos qui sont géniales ! Après, nous dormons : bonne nuit !
De retour à T., on a fait un atelier papier mâché, puis de la slackline et on est rentrés très fatigués.

Puis on a regardé «Tintin en Amérique» et les «Cigares du Pharaon». Après, on a mangé un gratin de pâtes un peu piquant mais très bon !





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* Un(t)raveling remercie beaucoup M. et J. pour leur contribution à ce blog, ainsi que mamie G. qui a relu, corrigé et édité les rédactions en un temps record! Bravo pour ce beau travail d'équipe...

Sunday, April 19, 2015

Hortraveling! s01e01 "acondicioning the terreno"

Nada más llegar a nuestro nuevo y querido hogar sedentario y estacional de tArco (el pequeño Arco en el corazón de l'Ariège), nos arremangamos y metimos manos a la obra milenaria de trabajar la tierra para sacar de ella los frutos jugosos de la vida agraria bajo el sol radiante de un estar en conexión con lo terrestre etc etc... ¡Bullshit absoluto! Cuando llegamos a nuestro nuevo hogar sedentario y estacional de tArco, el jardín tenía ESTE aspecto:
el jardín visto desde casa: alambrado de la primera guerra, hiedra que se comió el muro y semillero olvidado en la nieve.
Al volver de país vasco y salir del invierno (curiosamente, las dos cosas ocurrieron más o menos al mismo tiempo y la nieve se fue cuando el sol empezó a mostrársenos más a menudo ¡milagro de los misterios del universo en la faz de la tierra!), empezamos a rastrillar toda la hierba muerta y la porquería para amontonarlas en un rincón. Luego con una grelinette* amablemente prestada por L. y R., lo aramos todo, quitamos las malas hierbas de un año, preparamos el suelo y armamos las líneas de cultivos. Dejamos un sector sin acondicionar, a lo salvaje, quitándole solo lo más intrusivo: esta zona, la reservamos para sembrar una mezcla de semillas de gramíneas y leguminosas, así como un par o tres de cada planta que habíamos plantado en el huerto.
las Vedas del huerto orgánico!
La idea detrás de este Arca de Noa vegetal es tener y poder observar el ciclo completo de cada planta y ojalá llegar a guardar semillas y/o a que se re-siembren solitas... La Torah del huerto ecológico - opera magna y best-seller de la editorial Terre Vivante - que nos regalamos para la ocasión, enseña esto y mil otros secretos para no usar abonos, pesticidas, químicos y en general, para ahorrar agua, asociar cultivos, trabajar menos y dejar hacer la naturaleza... También te enseñan en este Corán de las hortalizas, cómo evaluar la composición y riqueza de tu suelo: recogiendo tierra en varios sitios del jardín, en los primeros 30 centímetros de profundidad, quitando las piedras más grandes que el tamaño de un hueso de oliva, mezclándolo todo bien y finalmente rellenando un bote de cristal con un tercio de esta tierra mezclada y dos tercios de agua! Uf! Se puede respirar mientras tanto! Después de 24-48 horas, los contenidos han sedimentado y te permiten apreciar sus respectivas proporciones de: grava, arena, limos y arcillas. También te enseñan como hacer churritos de tierra y observar como se secan y cuán blandos, maleables o friables son, lo que te da una tremenda oportunidad de reconciliarte con tu niño interior (que se ha puesto MUY de moda últimamente) y jugar a ensuciarte las manos y mancharte la ropa! ¿To' eso, pa' qué? preguntarán los passive-agressive... Pues para poder consultar un montón de tablas e ilustraciones de tu Bíblia del huerto y decidir la frecuencia con la que conviene regar, qué plantas lo van a pasar bien y cuáles mal, que si la acidez, que si la materia orgánica y mil otras cosas que seguramente sabrás por experiencia e intuición al cabo de treinta años pero que ahora mismo te (nos) resultan esotéricas, por no decir más.

Aunque hay que reconocer que si bien te puede dar a veces la impresión de no enterarte de nada y de que el milagro de la vida lo hace todo solito, cuando NO crece, cuando se te muere TODO y cuando las PLAGAS se cargan al resto, abalanzándose sobre tus débiles y frágiles plantitas, te enteras rápido. Pero no nos saltemos pasos, ¡aún nos queda mucho camino antes de llegar al apartado de control de plagas!
"Luego, llena un bote de cristal con un tercio de la tierra mezclada y dos tercios de agua..."
Teniendo un río de montaña que corre sus puras y cristalinas aguas de deshielo al fondo del jardín, a unos cuarenta metros del huerto - tras dedicar millones de años a esculpir el valle ese que habitamos - tampoco fue una gran sorpresa descubrir que los limos fértiles representaban una mayoría de nuestro suelo y que eso era buena noticia. Uno de los simpáticos vecinos, un joven de 92 años que se pasa el día currando en su parcela, nos había dicho poco antes: "este terreno, muy bueno patatas! patatas, este terreno, muy bueno! muy bueno, terreno este, patatas!" con pulgar en el aire y radiante sonrisa sin dientes. Todo encaja, ¡el gran plan del cosmos se alinea con los planetas y palpita en la fiesta de los limos universales! En fin, estamos a principios de abril: la tierra es buena y rica, las lombrices rebozan de vida y vigor, pero aún queda todo por hacer en el Hortraveling...

Como bien nos decía un chaval en una de nuestras granjas de wwoofing del año pasado (pero en su caso, era una excusa para no estar horas cada día arrodillado en el barro con los wwoofers y quedarse en casa fumando porros): "no me gusta hablar de malas hierbas, porque todas son útiles para el gran equilibrio y tienen el derecho de florecer y que pasa si decides que este humano es mal humano, ¿entonces lo vas a arrancar también? ¿hum?", poniendo cara de Bluesteel o boca de patito para selfie (pero curiosamente, las cestas de la AMAP de las que él vivía, las llenaba de fresas, no de dientes de león...). Ya, díselo a la hiedra que lleva veinte años invadiendo y digiriendo el muro, asfixiando metros cuadrados de suelo delante e impidiendo que crezca cualquier otra especie además de ser un nido de caracoles y serpientes! Si, si, la bio-diversidad, claro! Pues bio-diversidad justamente: menos hiedra y caracoles, más plantitas variadas (y comestibles) y cucarachas!
a principios de abril: la nieve se fue solita, la hiedra hubo que ayudarla un poco... el semillero, el compost y todo lo demás...
En fin, fueron tres días de intenso trabajo para eliminar la hiedra, reconstruir el muro, arrancar todas las raíces y tronquitos, cargar cuatro veces el 2c15 e ir a conocer a los de la déchetterie y sus horarios y modales tan peculiares. Pero finalmente, todo aquello para llegar a eso (ta-tcháaa!) de las fotos de arriba: parece mentira que para generar verde hay que empezar quitando verde...

Mientras arábamos, aparecieron unas cuantas patatas que no se recogieron nunca y a las que se les ocurrió brotar ¡milagro de la fuerza vital primaveral que renace cada año! Las re-colocamos más o menos en una misma fila y tuvimos la sorpresa de ver brotar muchas más en las siguientes semanas, por aquí por allí en todo el huerto... Lo que se ve en la foto de arriba, son básicamente plantas de patatas, junto con 3 baby fresales y 6 coles rojas que compramos y plantamos el primer día para quitarle al jardín este aspecto desolado de trincheras. También se aprecian una caja para el compost y un tendedero de ropa salvado del último reciclaje, que bastante debieron preocupar a nuestra querida vecina María, ya que nos vino a comentar al día siguiente que "en 40 años en esta finca, nunca había visto un tendedero ni un baúl así en el jardín... y a ver si se había pedido permiso a la propietaria". Cuando ella tiene por allí un gallinero gigante, otro tendedero y una chabola de palets y uralita para guardar su leña y nadie se los cuestiona... El privilège de l'âge tal vez?
para sembrar en el semillero, usamos el viejo truco de los campecinos-grafiteros: "spray-can and newspapah, modafackah!"
Una vez estas obras de infraestructura acabadas (digamos que la segunda semana de abril), empezamos con mucho optimismo a sembrar una linea de zanahorias, una de puerros y otra de remolachas. Según las recomendaciones, la época era correcta y solo era cuestión de asegurarse de que no hiciera demasiado frío... Bueno, como que eso no esta en nuestra manos, des-afortunadamente. De este primer experimento, no quiso salir ni una remolachita, ¡na de na! Noches frías y aires de media montaña... Al mismo tiempo sembramos tomates, berenjenas, pimientos y calabacines en el semillero: abierto durante el día, cerrado por las noches y la verdad que mediados de abril por estas tierras, por lo visto es un poco arriesgado todavía! Con razón a los principiantes, las guías de jardín les recomiendan que compren plantitas y no se líen con semillas y sembrar y replantar... es un asunto delicado: las merlas te picotean las semillas y las plantulillas; las palomas ven a las merlas y las imitan; la "mala hierba" (ups! perdón, las especies vegetales de interés hortolano divergente) crece más y más rápido de lo que siembras; a la que te sale algo, las pestes, plagas y pulgones aparecen y pululan...

cebollas a su rollo, tomatitos cherry regalados por L. y R. (merci!), patata un poco indepe, más tomatitos y baby-puerros.
Y eso que en el mercado del pueblo, cada miércoles y sábado, te venden plantitas de todo por un precio ridículo (tipo 0,60 el pie de tomate, calabacín o aromáticas). ¿Para que complicarse la vida? Lo único que nos salió a la primera fueron las cebollas: ni agua, ni demasiado cuidado, pasar de ellas es lo mejor que se puede hacer! Las patatas también tienden a ir a su bola, lo que nos parece maravilloso: ahora se lo podemos decir "patatas y cebollas son los gatos del huerto".

Nos dirán ingenuos, pero... Uno fácilmente se imagina que (bueno, nosotros al menos, fácilmente nos imaginamos que) si por la tarde plantas una col en el jardín, pues a la mañana siguiente te encuentras con esto:
nos faltó un profeta para multiplicar coles...
Que sepan que ¡NO es así! Más bien, a la tarde plantas una col pequeña pero mona y en plena salud y a la mañana siguiente, te encuentras con una cosa flácida y pocha, totalmente abandonada en el suelo como una piel de plátano o un adolescente en la madrugada de su primer botellón. Y te duele el alma, y ambos tardáis tarda tres o cuatro días en recobrar un aspecto digno (a diferencia del adolescente que se recupera mucho más rápido y de la piel de plátano que no se recupera nunca...). Pero mientras tanto, la mala hierba se ha multiplicado exactamente como las coles de este hábil foto-montaje, eso sí! Tiene que haber alguna lección confucionista acá: que lo que crece bien y solo y mucho, no te lo comes, mientras que lo que te puedes comer requiere tu trabajo cuidadoso y tu atención experta. El no hacer de la permacultura, aún no lo hemos alcanzado. Estamos más en un etapa Principito del huerto, donde hay que domesticar y fomentar vínculos con todo este pequeño gran mundo...

Y eso es todo para hoy! En los próximos capítulos: toca cuidar del semillero, plantar y replantar las lechuguitas, volver a probar la suerte con más semillas de zanahorias, puerros y remolachas, y muchas más cosas que no contaremos ahora para dejar algo de suspense... Arrivederci!


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* la grelinette es esta herramienta patentada por el señor Grelin y mil veces copiada después, que se supo imponer como símbolo y brazo armado de la permacultura y del jardinar de jubilados: fácil de usar, suave para la tierra, suave para los lumbares, versátil y elaborado con madera y hierro pero sin gluten...

Wednesday, April 15, 2015

un(t)ravelopes, zen...

...and the art of licking stamps.


If we have to confess one intimate thing on this blog: we love postcards! We love sending them almost as much as we love receiving them. We invent all sorts of pretexts to send people, friends and family postcards. When you are on the road, either on holidays or living a nomadic life, sending postcards from places you (un)travel to or through, is fun. And easier than receiving, of course. But since we have a temporary home, we've been desperately asking for postcards.

an old Michelin road atlas is all to need to build yourself a unique, genuine untraveler / analog nomad mailing identity.
Just to give an example of how much exactly we love postcards: we created this fake Facebook quiz we call the Friday Challenge (but seldom happens on actual Fridays) and we try hard to make up a story from a picture, so as to get people to compete and guess the answer of a relatively absurd or pointless question. Our goal is to eventually have a winner we can send a postcard to...

the un(t)ravelope: origami style!
Needless to say when somebody goes somewhere - which is a pretty common event, honestly - we ask for postcards. And sometimes, even though people were dead drunk and wrote our address in a very (very very) creative fashion, we get them. And get to know the mailman better, too. We even have this weird habit to send each other a postcard every now and then, especially when one of us is going somewhere while the other is going somewhere else (or just staying). It is a way for the team to send AND receive a postcard at the same time. Yeah! Except when our charming eighty years old visually challenged neighbour literally steals it even though our own name is written on it and she pretends it's for her and she's so moved and she cries and hugs us and we try to explain we actually send a postcard to ourselves, and she doesn't quite understand (who would do that???) and keeps crying and hugging us and we stare at each other and eventually give it up and our postcard is gone and the frustration is huge... Ha ha ha! Now think about the nurses and family who come visit her everyday and imagine they'll read all the weird stuff you wrote on that postcard which was intended for nobody but yourselves, and it's all getting a little bit awkward. True story.

Anyway, postcards are cheap, postcards are great, postcards are kitsch, postcards are colourful, postcards are a lovely surprise, postcard can be found anywhere, postcards can serve many purposes and postcards remind you of people you love and people who love you in a way Whatsapp and Facebook just can't  (or at least we believe so). Mainly because postcards are handwritten and until somebody develops a smartphone app to handwrite tiny messages on tactile screens and send them as e-postcards (an app which sure enough already exists, we're just lucky enough not to have a smartphone nor apps). And: postcard have stamps over them, which is a cool thing too. Especially for the people who collect them (I doubt there are still people who collect stamps since people do not send post mail anymore, but many times at the post office, the lady asks "Do you want just stamps, or do you want BEAUTIFUL stamps?". "Is it the same price?" "Of course!" "Well, give me those with that extra load of free beauty included, please!")

In two words: Postcards rule. Period.

the un(t)ravelot of stock, ready : origami style!
Now, sometimes you can't just send them raw. Because you want to say some stuff not everybody should read, because you want to increase the probability they'll actually get where you expect them to, because there's so much to say and the stamp and address blow too much space... In all these situations, using envelopes can be of great help.

Less ads, less apps: we want real mail!
Frome there, you have two options: you can either go to a store and buy some envelopes, or you can make them! (guess which one we've chosen...)

Before this post becomes as long as many others, let's get to the point: a while ago, we came across this old road atlas of Europe (an authentic vintage "guide Michelin" from the seventies - thanks to the book-crossing corner we built in front of the house. We decided it was the perfect source of our future corporate (ha ha!) mailing identity. Our recent experience with Origasmix somehow prepared us for creative paper-folding and we soon found this option to make a fast and easy adaptable envelope with just a little bit of glue or scotch (tape, not whisky).

So here's the thing: we have plenty of them and we need to use them. "Make a mailman happy, send a postcard today!" Send one to us, we'll send one to you. Email us your address, we'll send you one: from anywhere in particular, right to wherever you live... Give it a try!