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Friday, July 17, 2020

pendant ce temps, ils envoient du lourd! (3 sur 3)

ép.3: joyeux été les loulous!


Dans les épisodes précédents (le premier et le second), on a complètement vidé une vieille dépendance qu'on appellait Trinid l'étable. Ensuite, ils sont arrivés pour couler un bron une dalle à la place de l'ancien premier étage et faire "quelques" reprises de maçonnerie. "Ils", c'est une entreprise de maçonnerie locale qu'on vous recommande chaleureusement pour tout vos projets. À la fin de l'épisode 2, ils sont partis, laissant un peu de bord la dalle sécher.

piquage des murs en pierre en cours ; linteau pigeonnier rehaussé ; le pignon "sud" décrouté jusqu'au plafond ; et la nouvelle porte du pigeonnier!
Là, ils sont revenus. Ils ont monté un échafaudage sur la dalle, sous la charpente et le toit tout pourris de l'étable. Ils ont commencé par renforcer, agrafer, piquer et redresser les murs intérieurs. Rien que ça, ça tient en une (courte) phrase, mais c'est du boulot! Ensuite, ils se sont attaqués au gros morceau. Pas le plus délicat ni le plus technique, mais assurément le plus spectaculaire, pour nous et pour les voisins, qui voyaient enfin - après 3 ans! - des trucs changer. Bin ouais, avant on avait bossé presque uniquement à l'intérieur et s'ils entendaient le rafut, ils ne voyaient pas grand-chose. Aux premières loges, on était impressionnés. Autour, ça a fait parler, spéculer, ragoter, couler de l'encre, poser des questions et imaginer des réponses toujours très créatives: "Vous allez faire des appartements?", "Moi je mettrais des studios pour étudiants!", "En tout cas, ça doit coûter cher.", "Mais, vous allez tout reconstruire après?", "Vous comptez mettre une verrière là, non?", "Boudu, ah ça, ils travaillent les ouvriers. Quel bruit ils font!*"...

une bonne sous-couche de mortier de chaux batard (10% de ciment) pour bien fixer et redresser tout ça avant de finalement laisser entrer la lumière!
Du coup, ce gros morceau, c'était quoi? "Ils" ont démonté la toiture. Déposé les tuiles (récupérées pour un chantier de réno chez des copains et pour faire du remblai), déposé la volige et les chevrons pourris (sauf quelques pièces qui étaient récupérables, ça fait du bois à brûler), puis finalement déposé les pannes (idem: beaucoup à brûler et un peu à recycler/réutiliser) et démonté la vieille demi-ferme. Quand tout ça a été par terre, dans le jardin, et qu'il a fallu trier, on a senti monter comme une grosse fatigue et puis ça s'est assez vite et bien passé... On vous montrera dans des posts futurs (non encore écrits) ce qu'on aura fait (non encore décidé) avec les pièces de bois récupérables et récupérées!

le ciel est par-dessus le toit, si bleu si calme, qu'il disait, l'autre (manque juste le palmier). 
Après ça, donc, il n'y avait plus rien au-dessus de nos têtes. Juste un hôtel de 10 000 étoiles, comme dit souvent notre cher Albert Sans... N'en déplaise aux voisins qui voulaient voir pousser 4 ou 5 studios pour étudiants, on n'a pas l'intention de reconstruire quoi que ce soit. N'en déplaise aux voisins qui voulaient un toit ou une verrière, on n'a pas non plus prévu de refermer, ni de recouvrir quoi que ce soit. Notre objectif, c'est de gagner de la lumière. D'ouvrir un pignon sud sur notre maison (un peu mal) orientée est-ouest**. Et d'avoir (beaucoup) plus d'heures de soleil sur ce mur pignon et dans le jardin! Moins d'ombre, moins d'humidité, plus de lumière et plus de jour. Donc ça va rester ouvert: aussi ouvert que possible. Et à partir de maintenant, l'objectif c'est de s'arrêter un peu, laisser passer quelques saisons pour observer comment la maison et le jardin se comportent et réagissent à ce petit grand chambardement! Pour faire tout ça dans les règles de l'art, ils ont bien sûr dû reprendre des bords de rive sur deux côtés et un faîtage sur le troisième, en maçonnant des débords de toits avec goutte(s) d'eau. Ils ont repris l'arase des deux murs mitoyens en l'armant "un peu". Ils ont posé une poutre acier en H de 220 (comme une IPN mais basculée à 90% ; avec l'âme verticale, quoi) en travers du mur mitoyen "du fond", pour soutenir. Et finalement, ils ont relevé deux linteaux d'une autre époque, qui étaient vraiment beaucoup trop bas.

coffrage, démoulage et couverture du débord de faîtage ; chevron de rive posé et tuilé ; rayon de lumière ; demi-ferme en péril et linteau avant/après...
Dans la foulée et un peu à la dernière minute, on a décidé de ne pas conserver ni refaire le toit du pigeonnier. On leur a donc demandé de raser le dernier mètre et quelques (génoise incluse, c'est un scandale, on le sait mais que voulez-vous? on ne fait pas d'omelette...), pour conserver un toit plat qui optimise aussi l'ensoleillement du jardin pendant la journée. Bon, ça a visiblement agacé un couple de pigeons qui avaient pris leurs quartiers d'été juste entre deux grosses pierres de l'arase, sous la volige. F--k'em! Et rendus là, on a décidé de s'arrêter et de les laisser partir vers de nouvelles aventures. On ne veut pas les enfermer dans une relation sérieuse avec une rénovation longue et fastidieuse. Ils sont une entreprise de maçonnerie pleine de vie, ils auront de belles opportunités ailleurs. On sent qu'ils commencent à s'attacher et on ne veut pas leur couper les ailes. Bref, c'est pas eux c'est nous - vous voyez le genre.

pigeonnier écrêté: vu de face et la vue d'en haut ; futur accès au premier, avec son linteau relevé ; premier étage ouvert sur le ciel et la montagne!
Bon, ils avaient quand même prévu de finir tout ça avec un enduit naturel à la chaux, histoire d'apporter un maximum de clarté et de protéger les murs de l'humidité tout en les laissant respirer. Et on n'allait pas leur couper cette herbe là sous le pied. Après tout ce boulot, ç'aurait été de mauvaise éducation... Donc bin, ils l'ont fait. Et ils ont même débordé un peu chez le voisin, histoire que ce soit plus joli et que tout le monde en sorte éclairci, illuminé, ravalé et rafraîchi. Et voilà le travail: on vous laisse avec un petit avant/après, trois ans-et-quelques-jours pile après le début de l'aventure! :)

avant/après en haut/en bas, de g. à d.: le pignon sud ; la vue vers l'est et le pigeonnier ; le pigeonnier du jardin ; la vue d'ensemble du jardin.

Nous avec tout ça, on passe un été très agréable:
un poil stressé et un tantinet poussiéreux
mais hyper ensoleillé.
Du coup, on vous embrasse fort
et on souhaite de bonnes vacances
à ceux qui en prennent bientôt!
Bon courage aux autres
et prenez soin de vous!
W. T. & F.


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* Un peu de poésie pour une carte postale? Quelqu'un se souvient-elle ou il de l'époque lointaine et hélas révolue ou on mettait en jeu des cartes postales de nulle part avec des questions ou des énigmes souvent trop faciles? Cette fin d'alexandrin et le suivant "... quel bruit ils dont! Fuyons sous la spirale de l'escalier profond" sont de Victor Hugo. Si vous nous donnez le titre de l'oeuvre dont ils sont tirés, on vous envoie un coucou exclusif from us to you, directement par la Poste...


** Le bon conseil des amis et conseillers éco-constructeurs de l'Association Écorce, c'est qu'on ne peut pas changer l'orientation d'une maison - impossible de la faire tourner, qu'ils disent - et qu'il est donc indispensable de choisir une orientation idéale, de ne pas acheter si ce n'est pas le cas ou de se taire à jamais. L'architecte du CAUE, elle, nous a proposé de la modifier, non pas en faisant pivoter la maison, mais bien en démolissant un peu pour aller chercher ce qu'on n'avait pas... Résilience architecturale en action!

Thursday, November 7, 2019

home(t)raveling 3.0: semana 122

quitándole peso al asunto...


Con la escalera cerrada en un plan un poco más duradero y energéticamente relevante, podemos volver a petar, picar y sacar todo lo que haya que petar, picar y sacar en la planta dos, sin temer de sepultar en polvo nuestra cama y los estantes con la ropa limpia al gran estilo "casa Pompeiana" para los próximos 20 siglos. Les parecerá loco, pero después de prácticamente 2 años y medio, estamos muy contentos de tener -al fin- un espacio limpio que no se vuelve a llenar de m---da cada dos por tres. Así pues, aprovechamos la tímida y muy simbólica declaración unilateral de independencia de Cat de la planta dos, para ir a desahogarnos allí a porraz martillazos y mazazos. Se trata simplemente de aligerar tensiones estructurales y darles aire a las vigas de carga ; o de quitarle, en definitiva, algo de peso supérfluo al edificio. Para así restablecer el orden arquitectónico... Se me está yendo la pinza, chic@s!

no es que seamos particularmente románticos, pero vivimos en esta habitación gran parte de los primeros 18 meses y, ¡le tenemos cariño!
La primera gran ola de derrumbe consistió en quitar la pared entre las habitaciones - pared que era en realidad un tabique doble de ladrillos de 4, montado en sangüiche* alrededor de la cercha principal de la casa. Se construyó eso (si nos guíamos por el papel de pared) en una época en la que el cemento molaba mil, la madera era de catetos, y en la que dejar elementos estructurales a la vista era o bien de pobres o bien para animales de granja. Para presumir de estatus, a esconder la madera y a rebozarlo todo! Hoy en día en cambio, está bien visto exponer todo lo que se puede: cuanta más viga o pieza estructural al descubierto, mejor. En el caso de una renovación, no es solamente por estética: ir a descubrir y dejar a la vista elementos estructurales permite valorar su estado y controlar su evolución en el tiempo. Lo hicimos con las vigas de más abajo, por si la carcoma, la humedad y tal. Aquí pues, lo mismo. Además, es un elemento que nos parece precioso y creemos que merece estar a la vista. Pa' gustos y colores, tu...

Wallis, que al parecer es la única en trabajar aquí (mientras un servidor está jugando con la cámara) ; el punto de reciclaje de ladrillos!

Tardamos unos días (y unos viajes de coche) en bajar, cargar y llevarnos tantos kilos de ladrillos, yeso y papel de pared psicodélico hasta el centro de reciclaje. Aprovechando otro día soleado sin bebé, terminamos de tumbar el segundo tabique, que en estas fotos todavía sigue parcialmente en pie. La satisfacción de sacar la última fila y barrer el suelo por "última" vez, es difícil de expresar con palabras. Y reunificar las dos habitaciones da un espacio grande y luminoso, con esta cercha/proa en medio: ¡muy chulo! Voilà. Hay que decir que con esta última tanda de ladrillos, mejoramos la técnica de no generar tanto polvo, sacándolos enteros de 2 en 2 o más. Antes de quemar gasolina para llevarlos al vertedero, donde con más gasolina los hacen pedacitos y usan para rellenar terrazas o drenajes ; y antes de comprar ladrillos nuevos que son más energía gris y más combustible fósil para producir y transportar, los queríamos reaprovechar aquí, kilómetro cero. Es decir: los dejamos bajo la lluvia un mes para desconchar el yeso, los rascamos y reutilizamos para crear un tabique en la buanderie. Eso ya os lo mostraremos en un próximo post, porque aún estamos en ello. Claro, se tarda más así, por el tiempo de "prepararlos". Pero no consumir materiales nuevos, también es no consumir, y reducir la huella de carbono del sector de la construcción. Así que...

vista panorámica de las 2 habitaciones a punto de ser reunificadas, del cubo que falta por derrumbar y del lado donde todo está por hacer!
Ahora lo que queda por sacar de esta planta, es la mayor parte de la pared de ladrillo que separa la "casa" de la "ruina", pasada la escalera. Y para eso, también, todo el falso techo que hay encima. Ya sacamos el de las 2 habitaciones y está todo el espacio abierto, menos este cubo viejo que ya no tiene mucho sentido, puesto que hemos cerrado y aislado la escalera. Tiraremos primero el cañís (a.k.a. lattis plâtré) -los listones enyesados del falso techo-, separando: los listones que se pueden quemar, el yeso que se recicla, las vigas de 50x80 que aguantan el conjunto y se reusan o queman. Y finalmente, la pared de ladrillos en sí. La de las habitaciones, nos gustaría mantenerla y terminar hasta arriba, si es que aguanta y nos lo permite. Sino habrá que tirarla también para luego reconstruirla... Madre del amor hermoso, la de curro, de volumen y de peso de escombros que vamos a generar, evacuar, separar y reciclar cada uno por su propio circuito! Buf, qué cansancio! Creo que iré a echar una siesta ya...

a modo de despedida, dos bocetos de nuestro querido M. (¿cómo no? sobre papel de cocina) con su visión de futuro para la planta 2!


Y ya está para hoy,
que los caminos largos
están hechos de pasos pequeños!
Abrazos a tod@s,

Wallis, Tongo y Futuna




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* Sangüiche como las famosas y remotas Islas Sangüiche, o como el mismísimo inventor del bocata eponimo...




Thursday, July 6, 2017

home(t)raveling: semana 1

Parece mentira: una semana ya que tenemos llaves... y que tenemos casa. Entre Wallis que está trabajando de veterinaria (con animales y todo, sí sí!) y Futuna que está haciendo traducción tras traducción, los primeros 7 días han pasado volando. Pero no hubo ni uno en el que no fuimos allí a currar, y hay que decir que curro no falta. Es más: parece que hay curro y lo habrá para unos años! ¡Qué ilusión! ¡Qué impresión! ¡Qué locura! ¡Cuánta felicidad! Bien.

cuando te vienen a echar una mano y llegan más preparados que tu... ¡vaya cracks!
Para empezar bien y darnos ánimos, tuvimos la gran alegría de recibir una visita casi-sorpresa y muy bienvenida de nuestros queridos M&M, con el ya-no-tan-pequeño U. Como sabían que aún no se podía vivir mucho dentro de casa, llegaron preparados, con nivel y con un estilazo: un camping-car de lujo que entró de milagro por la puerta del jardín y en el que tenían la ducha, la cocina y la nevera que tanto nos faltaban a nosotros (y nos siguen faltando, dicho sea de paso. Je je!). M. tenía un curro urgente que acabar y entregar, pero M., con la ayuda experta del ya-no-tan-pequeño U., se ofreció para hacerles una revisión a lo "servicio integral" a nuestras bicis, mientras hacíamos nuestras tareas previstas - o no tan previstas. Todo un detalle por parte de un ciclófílo profesional y emérito, ya que dichas bicis acababan de pasar un año abandonadas por una granja, después de otro año de uso frenético sin ningún tipo de mantenimiento en T. sur A.! Bueno, que entre partidas desenfrenadas de mikado y de canicas, estos dos hicieron milagros mientras trabajábamos por aquí por allí bajo un sol de fin del mundo julio, nos cocinaron unos ricos menjares y hasta trajeron de su verde Penedés un cava artesano para brindar...
de las manos de M. y U.: cuidado intensivo y MUY cuidadoso para nuestras bicis.

Aplicando religiosamente el sabio consejo de nuestro no-menos-sabio amigo G., hicimos fotos en plan "antes/después", ya que él nos dijo que fliparíamos al ver como estaba antes y que nos costaría creerlo al verlo. ¿Puede esto pasar en tan solo una semana? ¡Pues sí! Miren más abajo los antes/después y créenlo o no, al escribir este post, ya nos habíamos olvidado completamente de como estaba al entrar el primer día.

Porque empezamos, como buenos hiperactivos que somos los dos, a currar desde la mismísima tarde del día 1, abriendo 2 frentes que en realidad fueron 3:

 - la cocina, donde pensábamos poder instalar rápidamente lo mínimo básico para vivir y estar, tener fogón y nevera, una mesa y un punto limpio donde comer, estar con el ordenador, etc. Pero como era de esperar, cuando se toca una cosa, hay que tocar todo. Y cuando piensas quitar el papel de pared, terminas haciendo agujeros en los muros porque es mejor hacerlo bien y del todo que a lo cutre y a medias... Bueno, total: que había 2 capas de papel, 2 de pintura y 3 de hieso y rebozados varios; que no nos podíamos arriesgar a dejar el falso techo por si las bigas estaban mal, tocadas o carcomidas y que descubrirlo en un año iba a ser peor, así que decidimos arrancar el falso techo, que eran paneles de porexpan super-pegados a un lattis (una capa de hieso sobre listones de madera clavados de las bigas); que hubo que arrancar todo esto con pata de cabra y que fue un curro muy sucio. Total: que la cocina va para rato!

debajo del papel de pared, más papel de pared, algo de pintura, más pintura y finalmente: el muro ; pasillo vintage ; bigas y techo/parquet: sanos!

 - el jardín, donde pensábamos quitar muchas ramas y hierbas muy crecidas que no dejaban circular e invadían "un poco" todo. Había, en particular, una hiedra diabólica. La madre de todas las hiedras. Nos recordó mucho a la de T. sur A., pero en versión XXXL, y decidimos deshacernos de ella rápido, porque la hiedra es una porquería que ahoga el suelo, que parásita los árboles, que se come los muros y jode los techos para terminar engullipándolo todo como la mussaka asesina en la peli epónima. Bueno, total: que la hiedra estaba MUY agarrada y que cada metro de muro fue una lucha a muerte. Pero ya le conquistamos unos cuantos metros y fuimos descubriendo tesoros y maravillas debajo: dos ciruelos, dos manzanos y dos higueras, zarzamoras, groselleros y una parra. ¡Ta-tchán! El verano será dulce... También hay avellanos con avellanas y unos sambucos que recortamos un poco porque invadían a saco, pero tienen fama de no ser rencorosos y de volver a crecer siempre y rápido.

el jardín antes, con muchos tesoros sepultados bajo la hiedra, la ortigas y unos arbustos pinchudos ; ganando la guerra contra la hiedra...
 - el hangar, para acabar esta primera semana (¡Ford! qué rápido pasa el tiempo y qué cansancio: creo que nunca hemos dormido tan bien como estas 7 noches...). Técnicamente, el hangar forma parte del jardín ya que estaba literalmente desaparecido bajo la mismísima hiedra. Ah, la excitación de vivir y sentir lo que los arqueólogos al descubrir Angkor Wat entre raíces y lianas... Le dedicamos un par de días para su completa limpieza, porque decidimos que de cara a los próximos 2 meses o así, iba a ser un lugar maravilloso para un campo base a la fresca, con cocina de verano, vistas a la montañita que domina el pueblo y estrellas fugaces gratis! ¿El spot donde hay que estar este verano? Ya saben... Eso sí, acondicionar el hangar supuso rascar, barrer y quitar unas 4 cubos de 80 litros de caca de paloma, varios kilos de telarañas y porquería varia, categoría normal y corriente (entender: madera podrida, chatarra, juguetes de plástico, botes de pintura, cristales rotos y alambre oxidado para parar un tren).

debajo de la hiedra: muro de piedra rústico con banquito y barbacoa, frutales pletóricos con fruta madura y... hangar agrícola con carácter!
También supuso subir al techo y cambiar las tejas rotas o directamente expulsadas por la hiedra, y para quitar un nido de palomas de varios kilos (con su montón de caca incluido, en equilibrio precario bajo la biga cimera...); quitar más hiedra; cepillar las tejas en buen estado pero cubiertas de molsa. Apenas limpio y vacío, el hangar se vio convertido en el centro de reciclaje y volvió a llenarse de porquerías, pero esta vez clasificadas y separadas por categoría en unas pilas muy estéticas. Habrá que encontrarles otro sitio, porque están un poco en medio de las futuras cocina y habitación! Finalmente, también revelamos una red de canales de cemento por el era delante del hangar, cada una más taponada y llena de tierra y raíces que las otras y cuya función parece ser recoger el agua de lluvia y llevarla hasta una tubería que baja hacia la calle. Otro objetivo importante será vaciarlas todas y averiguar que funcionan para poder evacuar el agua de cara al otoño... hasta que nos equipemos con depósitos para recoger el agua de lluvia para el huerto, los baños, la lavadora y qué sé yo...

Et voilà para esta primera semana. No está mal y estamos super contentos, ilusionados y un poco rotos ya. Ja ja! No lo vamos a repetir en cada post, pero las visitas y los echajes de manos están más que bienvenidos!

Hasta pronto,
Wallis & Futuna


el encanto inigualable de lo rústico, de las telarañas y de la madera antigua... ;)